La Flûte enchantée
Musique Wolfgang Amadeus Mozart
Livret Emanuel Schikaneder
Création: Theater an der Wien (Vienne), le 30 septembre 1791
63000 Clermont-Ferrand
Chanté en allemand, parlé et sous-titré en français
Tarif plein 19€ - Tarif réduit 13€ sur présentation de la carte d'abonné Clermont Auvergne Opéra - Un partenariat Cinéma Les Ambiances et Clermont Auvergne Opéra
NOUVELLE PRODUCTION
Coproduction Théâtre des Champs-Élysées | Atelier Lyrique de Tourcoing | Théâtre Impérial–Opéra de Compiègne | Opéra de Nice-Côte d’Azur
La Flûte enchantée fait l’objet d’une captation réalisée par Cédric Klapisch, coproduite par le Théâtre des Champs-Élysées et FRAprod, avec la participation de France Télévisions et Olympia TV, et le soutien du CNC
Direction musicale François-Xavier Roth
Mise en scène Cédric Klapisch
Scénographie Clémence Bezat
Costumes Stéphane Rolland et Pierre Martinez
Lumières Alexis Kavyrchine
Création d’images digitales Niccolo Casas
Illustrations animaux et monstres Stéphane Blanquet
Animation vidéo Atelier de Sèvres
Tamino Cyrille Dubois
Pamina Regula Mühlemann
Papageno Florent Karrer
Papagena Catherine Trottmann
Sarastro Jean Teitgen
Monostatos Marc Mauillon
La Reine de la Nuit Aleksandra Olczyk
La Première Dame Judith van Wanroij
La Deuxième Dame Isabelle Druet
La Troisième Dame Marion Lebègue
Le Premier prêtre / Le Deuxième homme d’armes Ugo Rabec
Le Deuxième prêtre / Le Premier homme d’armes Blaise Rantoanina
Le narrateur Josef Wagner
Orchestre Les Siècles
Chœur Unikanti – Maîtrise des Hauts-de-Seine | direction Gaël Darchen
Opéra filmé au Théâtre des Champs-Élysées en novembre 2023, La Flûte enchantée s’inscrit dans la tradition du Singspiel, la version allemande de ce qu’en France on appelait l’opéra comique qui mêle dialogues parlés et chant.
Partition tout aussi mystérieuse que fascinante, elle fut composée quelques semaines avant la mort du musicien. Le livret de Schikaneder, frère en maçonnerie de Mozart, s’est depuis longtemps prêté à toutes les interprétations : récit symbolique, conte allégorique, fable populaire, comédie féerique…
Au-delà, reste la musique de Mozart, tout empreinte de légèreté virevoltante où le rire, l’émotion et la gravité alternent avec brio. Ce long chemin de l’enfance à l’âge adulte, des émois adolescents à l’amour ne pouvait que trouver résonances chez le cinéaste Cédric Klapisch qui fait ses débuts ici dans la mise en scène d’opéra.
L’histoire : Le Prince Tamino est chargé par la Reine de la Nuit d’aller délivrer sa fille Pamina des prisons du mage Sarastro, présenté comme un tyran. Guidé par les trois Dames de la Reine, Tamino est surtout accompagné de Papageno, un oiseleur truculent, dont la couardise contraste avec la noblesse et le courage de Tamino : à Papageno revient un carillon et à Tamino une flûte magique – deux instruments qui les aideront dans leur périple. Mais Tamino découvre au cours de son voyage que les forces du mal ne sont pas du côté de Sarastro mais de celles de la Reine de la Nuit : cette dernière l’a trompé et elle est prête à tout pour se venger de Sarastro, qu’elle déteste. Truffé de mises à l’épreuve, le parcours de Tamino pour délivrer et conquérir Pamina se charge de symboles qui, de scène en scène, les mènent vers l’amour et la lumière, sous la sagesse bienveillante de Sarastro.