Une Carmen arabo-andalouse
D’après l’opéra de Georges Bizet
Vendredi 13 octobre 2023 – 20h
Chanté en français et en arabe - Surtitré en français
de 12 à 45 €
Production Opéra Éclaté
Coproduction Clermont Auvergne Opéra et Opéra des Landes
Avec le soutien de la SPEDIDAM
Spectacle accueilli en résidence au Théâtre des Franciscains à Béziers
Création en résidence au Théâtre de Brunoy – Essonne
Mise en scène Olivier Desbordes
Assistant mise en scène Yassine Benameur
Coordination musicale Pierre-Antoine Despatures et Marwan Fakir
Orchestration Pierre-Antoine Despatures
Nouvelle orchestration pour quintette à cordes, guitare espagnole, derbouka/percussion, trompette, clarinette, flûte.
Composition de l’air de Garcia Youssef Kassimi Jamal
Livret d’Olivier Desbordes d’après Mérimée et Meilhac et Halévy
Toile peinte Aziz Lkhattaf
Scénographie et costumes Patrice Gouron
Création lumières Simon Gautier
Cheffe de chant Mari Laurila-Lili
Rédaction et régie des surtitres David M. Dufort
Carmen Ahlima Mhamdi
Don José Jean-François Marras
Garcia, mari de Carmen Yassine Benameur
Frasquita Sonia Menen
Mercedes Sonia Skouri-Robert
Le Dancaïre Eduard Ferenczi Gurban
Remendado Yanis Benabdellah
Zuniga Omar Hasan
Lillas Pastia Louis-Héol Castel
Les cigarières Aviva Manenti et Analia Téléga
Orchestre Mare Nostrum
Violon solo Aramis Monroy
Violon 2 Marwan Fakir
Alto Serena Manganas
Violoncelle Sary Khalifé
Contrebasse Pierre-Antoine Despatures
Guitare Louis Desseigne
Flûte Ana Souhaila
Clarinette Lauriane Maudry
Trompette Jérôme Lacquet
Percussions Bastien Anthoine
Fougueuse, fière, scandaleuse, douce et cruelle, Carmen révèle une image sauvage et fascinante de l’amour. Dans cette version de Carmen accompagnée par un orchestre mêlant musiciens marocains et musiciens classiques, Olivier Desbordes nous offre une lecture populaire et renouvelée de ce classique du répertoire en lui redonnant toute sa lascivité et son émotion festive.
Une Carmen arabo-andalouse, symbole du métissage artistique, qui gomme les habituels effets lyriques et dramatiques du grand orchestre en nous offrant des sonorités plus intimistes, plus dépouillées, au plus proche du sentiment, mais sans jamais trahir l’œuvre de Bizet.
